Robot Mako®, deux patients témoignent à l'occasion de la journée de l'orthopédie

Os, articulations, ligaments, muscles, nerfs et tendons : l’appareil locomoteur est le domaine de prédilection de la chirurgie orthopédique. Au sein de l'Hôpital Privé de Provence, nos 15 chirurgiens orthopédiques (A et B) disposent d’un plateau à la pointe des techniques actuelles, dans un environnement ultra-sécurisé.

À l'occasion de la journée mondiale de l'orthopédie, retrouvez les témoignages Florence et Bernard, patients opérés par le Dr Benoît Ripoll au sein de l'Hôpital Privé de Provence. Tous deux ont subi une pose de prothèse de genou à l'aide du robot Mako®

Florence Priam, pose d'une prothèse de genou avec le robot Mako®

« Un mois après l’opération, je marche sans cannes »

« Lorsque j’étais jeune, je pratiquais beaucoup la gymnastique. À l’âge de quatorze ans, j’ai découvert que je souffrais de ménisques discoïdes, une anomalie congénitale du genou. Malformés, mes ménisques se sont fissurés au niveau des deux genoux. J’ai subi des ménisectomies. À l’âge de quarante ans, j’ai commencé à souffrir d’arthrose. Comme je suis aide-soignante, je marche beaucoup quotidiennement et je porte régulièrement des charges, notamment lorsque je déplace les patients. Mes douleurs aux genoux m’empêchaient d’exercer mon métier dans de bonnes conditions. J’ai donc consulté le Docteur Ripoll à l’Hôpital Privé de Provence. Il y a dix-huit mois, il m’a posé une prothèse au niveau de mon genou droit, avec la méthode traditionnelle. En mars 2020, j’avais également besoin d’une prothèse sur le genou gauche.

Le Docteur Ripoll m’a alors parlé du robot Mako. Il m’a expliqué que ce robot permettait d’obtenir une reconstruction en trois dimensions du genou et ainsi d’établir un plan opératoire personnalisé et des coupes plus précises effectuées par le bras articulé.

Pour avoir été opérée de chaque genou avec une technologie différente, je suis convaincue de l’intérêt de ce robot. Un mois après l’intervention, je marche déjà sans canne, alors que je suis restée un mois avec deux cannes et presque deux mois avec une canne suite à ma première opération. J’ai récupéré une flexion de cent degrés et une bonne extension. Je ne suis restée à l’hôpital que 36 heures. Je n’ai pas ressenti de douleurs fortes, les antalgiques par voie orale ont été suffisants. À priori, ces prothèses sont faites pour durer et leur longévité est accrue lorsqu’elles sont posées avec le robot Mako. Je conseille aux patients de ne pas hésiter à subir une telle intervention, même s’ils sont encore jeunes. Ils récupéreront plus vite et gagneront en confort de vie, notamment s’ils sont sportifs ».

Bernard Durand, pose d'une prothèse de genou avec le robot Mako®

« Un mois après l’intervention, je réalise des randonnées de plusieurs kilomètres »

« À l’âge de 62 ans, j’étais limité dans ma vie active par des douleurs liées à l’arthrose. Moi qui suis sportif, j’avais des difficultés à pratique la marche, le vélo, le ski et la natation. L’arthrose est insidieuse, la douleur arrive petit à petit jusqu’à devenir handicapante. J’ai donc consulté le Docteur Ripoll à l’Hôpital Privé de Provence. Les injections de viscosupplémentation s’étant avérées insuffisantes, il est apparu que la pose d’une prothèse partielle de genou était le meilleur traitement.

Le Docteur Ripoll m’a proposé de réaliser l’intervention avec le robot Mako, que les chirurgiens orthopédiques de l’établissement testaient depuis quelques mois. J’ai compris que ce robot me permettait de bénéficier d’une opération plus précise.

J’ai été opéré le 19 mars. J’ai pu faire quelques pas le jour-même et sortir de l’hôpital le lendemain. Au bout d’une semaine, je commençais à marcher sans béquilles. Un mois après l’intervention, je réalise des randonnées faciles de quelques kilomètres.

Je ne regrette pas du tout cette opération qui me permettra bientôt de retrouver une vie normale. »